dimanche 4 janvier 2009

Miller lite




- Never back down

Il y a quelque chose d'assez vivifiant là dedans. Longtemps qu'un film de tatane ne m'avait pas enthousiasmé comme ça. Probablement grâce à son traitement teen plutôt réussi. Probablement aussi grâce à Amber Heard. C'est franc du collier, c'est basique et c'est bien ficelé. Ca devrait cartonner en vidéoclub.

Sur le débat politique de la chose, je renvoies évidemment au blog de l'ami Mouches d'eau.

Y'a tout de même quelque chose d'étonnant qui se passe de l'autre côté de l'Atlantique au niveau du teen-movie de série B. Avec cette utilisation du scope et une ambition visuelle qui sort du tout venant. Je rapproche volontiers le film de Mandy Lane ou d'une The Ruins, films qui passent absolument inaperçus partout mais qui révèlent des cinéastes avec du talent à revendre (Levine a d'ailleurs réalisé un film depuis qui a fait beaucoup plus parler de lui). D'autres parleraient de cette montée en puissance mieux que moi.

- The Spirit

Une vraie merde.

- Paris, de Klapisch

Espèce de truc vaguement lelouchien. Etonnant d'ailleurs qu'à si peu de temps d'intervalle les deux s'attaquent à la description du "peuple parisien". Le film joue sur les clichés mais tombe aussi dedans. Drôle de bête dont il ne reste quasiment plus rien après 3 jours. Si ce n'est la prestation toujours au taquet de Lucchini, définitivement trop rare.

Il parait que Sarkozy est allé le voir en spectacle pour le nouvel an.

- Sur le terrain de la prod, les choses se bousculent un peu. Va falloir que j'abandonne mes projets TV le temps de gérer les deux tournages qui arrivent bien vite. En tout cas un bon rush de motivation qui vient à moi d'un seul coup. Avec les fiches (et la très bonne surprise du prochain film de Dominik M.) et la fin des travaux dans mon appart' (monter une armoire IKEA, c'est 2 jours plein de boulot...) ça fait des choses à faire. Ca remet dans le bain après NY.

Ca fait du bien.

Aucun commentaire: