dimanche 2 novembre 2008

Planck




- Il y a une petite déception à la vision du nouveau Bond, au titre ô combien étonnant Quantum of solace.

Parce qu'il y a le choix étonnant de le rendre quasiment feuilletonant par rapport à l'excellent Casino Royale qui le précède. Le personnage d'Eva Green, héroiquement décédée dans ce dernier, est par trop envahissant. Et cette quête de vengeance n'a finalement pas beaucoup d'intérêt face à l'enjeu plus fort que constituait ce conglomérat de faux écologistes. Là y'avait un sujet intéressant, et actuel, de méchant.

Reste qu'il y a de l'action et qu'elle dépote pas mal. Et puis y'a cette demi Bond Girl anglaise, qui irradie l'image en 4 minutes d'apparition, là ou la principale nana apparait bien fadasse.

Et puis au niveau politique, le film n'hésite pas à charger la CIA et les US sur la politique étrangère en Amérique du Sud. Et puis une mini référence aux malouines. C'est pas bien méchant et ça arrive 20 ans après la bataille. Certes.

Et un peu déçu pour Amalric qui n'a pas un rôle de méchant taillé pour son talent. Il fait trop sa tête "de fou" pour moi. Dans les Desplechin, je le trouve bien plus flippant.

- Découverte de Big bang theory.

La série la plus geek du monde.

Il y a un systématisme de la blague un peu fatiguant. Les rires en boite obligent d'avoir une blague toutes les 3 répliques au maximum. Donc c'est tout le temps du sarcasme, de l'ironie. Il y a parfois de la bonne vanne. Mais quand on voit ce que parvient à faire un Arrested Development ou un Weeds, là ça fait un peu age de pierre de la comédie.

La saison est courte, j'irai jusqu'au bout.

- Au Parc l'autre soir, j'ai vu un supporter du PSG complètement sec allumer sa clope par le filtre. Il a pas aimé du tout.

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