lundi 7 septembre 2009

Et bien... elle marche.



- Que ça fait du bien d'avoir un peu de financement. Les choses ont avancé avec le labo et on va pouvoir finir le documentaire assez rapidement. Ils ont un nom de plastique mais ils font des tarifs défiant toute concurrence (bon, le patron file un coup de main...)

- Vérification du mix du Portail en fin de semaine. L'étalo est toujours en stand by.

- Débrief des pilotes avec le réal et C+ aujourd'hui. Peut être qu'on aura des moyens pour la suite. Peut être pas. On va voir.

- Aucune envie d'aller au cinéma en ce moment.

- Comment en est on arrivé au point ou le capitaine de l'équipe de France de football doit être au 20h de TF1 pour rassurer le pays? On dirait une blague.

Rendez nous ZZ.



- Matage avec le Khan du documentaire sur Woodstock. La version longue est trop longue et vaut probablement de l'or pour quelqu'un qui aura connu cette époque. A la limite, le regarder en plusieurs parties, pour découvrir ce moment insensé. J'avais toujours zappé le chapitre sur Canned Heat : y'a un moment absolument génial d'un mec qui monte sur scène, qui taxe le paquet de clope du chanteur. Un type vient demander s'il faut le virer, le chanteur lui dit que ça roule et continue de chanter tranquillement. Le mec s'assoit devant, et fume sa clope. Devant 500 000 personnes.

Et en voyant la fin du film, je plains les gens qui n'auront pas su attendre Hendrix. Y'aura finalement que 10 000 pélerins qui auront assisté à cette messe et qui n'auront que leurs yeux pour pleurer un an plus tard quand ce demeuré s'étouffera après avoir trop picolé.

Matage aussi de Strange days. Film dont l'intérêt réside dans le pitch, à peine utilisé par la mise en scène. Ce n'est finalement que dans les plans séquences des "visions" que le film prend réellement son envol... mais le reste, tout ce qui attrait au production design, à l'impression de fin du monde qu'on est supposé ressentir, apparait un peu cheap. Je sais pas si Southland Tales va vieillir comme ça. Mais quand tu vois un truc comme Blade Runner, tu vois clairement la différence entre les très bons et les mecs (nana pour le coup ici) juste faiseurs.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Strange Days ça tue. Tu comprends rien. Retourne mater l'athlétisme.