dimanche 3 août 2008

Hey kids, rock'n'roll.




- Petit week-end pour marier E. et A.

Qu'il est bon de retrouver toute la bande au complet pour la première fois depuis... 1 an. Et cette fois ci pour une circonstance très heureuse. Même Ben P. était venu de New York pour l'occasion, histoire de marier notre cher et ancien président du BdE. Un week-end de fête ensemble. En Touraine!



Comme ce sont des gros control freaks ces chers époux, ils avaient fait les choses tout simplement parfaitement. Un château entier réservé rien que pour nous, tout se passait dans un village tranquille (Chissay), soit la Mairie, l'église et la fête. Pas de marche, pas de rentrage bourré en voiture. Donc piccolage intensif de champagne.

J'aime pas trop les cérémonies religieuses mais là le prêtre était cool et a fait un sermon gentil et plutôt ouvert (puisque ce cher E. n'est pas croyant et qu'il allait à l'église pour sa femme et sa famille). C'était de bon ton devant cette assemblée de païens.

Plein de bonnes idées à prendre dans cette fête : notamment le livre d'or plein de photos personnalisées pour mettre un mot (j'étais... avec un cône de chantier sur la tête) mais également la nuit de noce dans une chambre troglodytique au sommet du donjon du chateau. Lit à baldaquin, énorme clé en fer. La folie. Ils ont du claquer un fric fou.

- Reste l'horreur la plus totale pour le témoin, le cher et tendre S. Le mec le plus gentil du monde. Il vient avec sa nana. Il est avec elle depuis 1 an et demi.

Elle choppe un mec sous ses yeux sur la piste de danse, devant tous ses potes. En plus le plus gros boulet de la cérémonie. Il va sans dire qu'il s'est fait virer fissa. Personne ne sait comment il est rentré. Il aura perdu des amis ce soir.

- Je crois que la robe de mariée fait de l'effet sur moi. Moi qui trouvais la promise plutôt banale était franchement canon avec sa robe, mais surtout après. Le lendemain matin.

Après, ça peut être le bonheur.

- Hâte d'être aux deux autres épousailles de l'été. A Paris puis au Puy.

- Trajet de retour improbable, assis à côté d'un schizophrène adepte de John Grisham. Il parlait tout seul, en me regardant de temps en temps et en me disant "Ne t'en fais pas. Ne t'inquiète pas." Si si. Il a du lire 5 ou 6 fois la fin de son bouquin pendant le trajet Vierzon-Paris.

- La saison 3 de The Wire m'inquiète dans ses 2 premiers épisodes. On tombe presque dans la pochade avec cette histoire de chien mort.

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