- Sur les conseils de Nicolas B. et de Benjamin Po. , je me suis maté The Ruins.
Bien m'en a pris. Encore une fois, c'est la grande efficacité qui prime. Le décor ? Une plate de forme de 100m². Les méchants? Des plantes carnivores.
Le film marche parce qu'il n'a pas peur du gore (scène d'amputation d'une violence rare) et parce qu'il fait preuve de l'imagination nécessaire : les plantes s'immiscent sous la peau des protagonistes qui pètent totalement les plombs et qui envoient valser les relations sociales qui régissaient leurs attitudes jusque là. Il est d'ailleurs dommage que cette partie du film soit aussi courte et qu'elle ne repose que sur le personnage de la (belle) blonde.
En tout cas, leur Mexique ressemble vachement à ma Provence.
Lundi, avant première de Martyrs. Il parait que ça le fait.
- Pas facile de développer une émission culturelle. J'ai parlé à Tania De M. Je rencontre Christophe OdB la semaine prochaine. Devrais y voir un peu plus clair. Mais va falloir y penser pendant le week end. Mes parents ont été force de proposition particulièrement précieuse ! Ils sont tout excités. C'est étonnant.
- Un homme dans le RER B assurait l'ensemble du wagon, à voix haute et avec une haleine bien avinée, que Sarkozy, s'il avait vécu en 1940, il serait parti dans un train vers la Pologne. "Avec Hitler, ça rigolait pas à l'époque". Une dame lui a rétorqué qu'il fallait arrêter de les faire chier pendant qu'ils prenaient le métro.
"Je ne vous fais pas chier madame, je mets en perspective."
1 commentaire:
La sagesse éternelle des clochards avinés. Au vocabulaire à propos, en plus. J'adore.
Pour ma part, j'ai rencontré sur la ligne 13 le Rossignol Portugais, qui sifflait Porque te vas ?. Une petite femme qui disait très fort : "Y'a plus d'amour, messieurs dames".
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