vendredi 11 juillet 2008

Vous aimez le boogie-woogie?


Découvrez Paolo Conte!


Il faut qu'on prépare mieux nos réunions.

C'était pour un concept de magazine. On rencontrait aujourd'hui le directeur de la communication de l'ADEME, agence d'état dont les fonctions ont attrait à l'environnement, la gestion des déchets et de l'énergie. Mais on ne savait pas réellement qui ils étaient, ce qu'ils recherchaient et ce dont ils disposaient.

Tout ça pour dire qu'après 10 minutes de rendez vous, on s'est rendu compte qu'il n'allait rien en ressortir: ils n'ont pas un rond et ne peuvent en aucun cas soutenir notre projet. Soutien logistique, tant qu'ils peuvent. Soutien médiatique, pas évident. Soutien financier, hors de question.

Ils avaient l'air totalement exténués. Ras le cul de l'année développement durable nous ont ils dit. Tout ça pour dire qu'il y a encore du boulot. On a décidé de prendre notre 14 Juillet. Je vais donc pouvoir lire les trucs que j'ai en retard.

On découvre avec TVH les joies des cotisations sociales. Quand ça tombe, ça fait mal. Je vais faire pour presque 10.000€ de chèques là. On participe à l'effort national. L'argent tourne. On soutient le système. On a beau se dire tout ça, ça ferait un beau court métrage mine de rien! Bref. C'est normal.

Vu le premier épisode de The Wire. Pour l'instant, je ne vois pas le génie qu'on me vante partout. Je vais continuer encore 2/3 épisodes. Ensuite on avisera. Les 60 heures qui m'attendent m'effraient.

Par contre la lecture de Le Bruit et la fureur m'ont stimulées comme jamais. Quelle puissance se dégage de ce roman. Quelle force d'évocation dans ces 3 voyages mentaux. J'en pleurerais. Et je vais donc me plonger dans la suite de l'oeuvre de l'ami Faulkner.

J'ai vu qu'on en avait fait un film. Mon dieu que ce doit être triste.

3 commentaires:

Yannick Vély a dit…

Pas bien compris le buzz sur the Wire. J'ai abandonné à l'épisode 3.

GM a dit…

Ah, deux compagnons d'incompréhension The Wire-ienne...

J'en avais fait un post à l'époque, sur mouches-d-eau... Et jiko s'était fendu d'un joli texte de défense en commentaires, qui certes ne m'avait pas convaincu, mais permettait de comprendre un peu mieux...

Joachim a dit…

Sinon pour l'été, embraye sur "Lumière d'août", un autre grand choc. Assez impossible à transposer au cinéma, effectivement...
Quoique "Touch of evil" ait des accents faulkneriens (même le titre d'ailleurs).